Les 5 idées reçues sur le modèle associatif
L’association loi 1901 a elle aussi son lot de grandes vérités. Entre mauvaises habitudes, fonctionnement induit par l’administration ou méconnaissance du sujet, on se retrouve vite à appliquer des règles qui finalement n’en sont pas. Ici, on va essayer de faire le tri, et de clarifier ce qui relève de l’obligation et ce qui a trait à des habitudes non obligatoires.
Parler de son projet n’est pas chose aisée !
Un projet né d’abord d’un problème à résoudre (un article viendra peut-être sur la question « le problème que j’identifie mérite-t-il d’être résolu ? »). Il germe alors une idée issue de vos réflexions, d’une rencontre, d’une lecture, d’une situation vécue… Puis de cette pensée, cogitée plus ou moins longtemps, émerge une première manière de dire votre projet. Passer de la phase idée à la phase « je parle de mon idée » peut vous sembler difficile car il s’agit de se dévoiler et d’accepter que votre projet n’est pas encore parfait.
Un besoin d’accompagnement peut en cache un autre !
Nous avons travaillé pour une fédération nationale sur la question de l’implication de ses membres : participation aux activités et aux réflexions , renouvellement des instances de gouvernance, mobilisation de manière générale sur les actions de la fédération. Le contexte est assez habituel, la fédération a plus de 30 ans, ses membres sont des directeurs.trices de structures et les départs des membres extrêmement impliqués depuis la création s’annoncent.
Les questions que se posent les associations !
L’ESS Inspirantes accompagne des associations qui vivent des périodes de transition ou font face à des difficultés de fonctionnement. Le fait qu’une personne extérieure facilite les échanges est une réelle plus-value car le collectif accompagné se permet alors un pas de côté et regarde le problème avec un nouvel angle de vue.